dimanche, novembre 18, 2007

Keith Olsen se souvient...


En parcourant son site professionnel,Pogologo Productions, je m'étais aperçu que l'album de Sheila Little Darlin', entièrement produit par lui en 81, ne figurait pas dans la gallerie de ses nombreuses collaborations. J' ai signalé l'oubli à Keith Olsen par email, avec la pochette dudit album jointe,ne m'attendant bien sûr à aucune réponse...mais ce dernier m'a gentiment répondu 2 jours après, avec un commentaire sympa sur la chanteuse,dont apparemment il se souvient bien,se rappelant jusqu'à son vrai nom!Il explique aussi qu'il n'a pas voulu surcharger son site avec trop d'informations, et décrit Sheila comme une fille très cool, et que travailler avec elle a été très agréable....

jeudi, novembre 08, 2007

L'évènement du jeudi



L'auteur de ce pamphlet peut paraître cruel.Il est surtout mal renseigné et opte pour un raccourci facile mais archi faux:les spectateurs n'ont pas boudé le Zénith de Sheila à cause de la qualité(reconnue par tous les médias de l'époque,presse parisienne comprise),comme ses premières lignes le sous-entendent,mais tout simplement parce que refroidis par une image et une (fausse)réputation immuables,ils n'ont pas fait l'effort d'aller la voir,en chair et en os. Tous ceux qui ont assisté à ce spectacle grandiose en sont ressortis emballés et étonnés, je me souviens de la réaction de personnes carrément pas fan me le témoignant ensuite. Mais flop il y eut,c'est indéniable. Qui à l'époque pouvait se vanter de remplir un Zénith de 6000 places tous les soirs pendant plus d'un mois(durée prévue à l'origine)?!Peut-être Gall,et encore, ou Johnny(et encore...)?Lara,Higelin se plantèrent à l'époque mais tout fut bien vite étouffé,oublié...

La fin de l'article me semble plus intéressante dans la mesure où elle souligne le traitement de défaveur particulier(sans paranoïa aucune) dont une fois de plus Sheila a fait les frais. En revanche elle s'en remit,de cet insuccès commercial du Zénith, avec un Olympia triomphant 4 ans après. Personnellement je pense que ce dont elle ne se remit jamais vraiment ce sont ses adieux, dont l'orgueil un peu mal placé ne lui a jamais été pardonné par la profession.Merci à FranckieFrank pour ce document.